Le ministre des Finances, Laaziz Faid, a émis le souhait d’une « implication plus affirmée » des entreprises britanniques sur le marché algérien.
Le ministre des finances s’exprimait lors d’une audience qu’il a accordé, ce mercredi, à l’ambassadrice du Royaume-Uni en Algérie, Sharon Wardle, à l’effet de s’entretenir au sujet des relations économiques et financières entre les deux pays ainsi que les voies et moyens à même de les consolider.
Selon un communiqué du ministère, les deux parties se sont félicitées, à ce titre, des actions de coopération engagées jusque-là, notamment en matière d’assistance technique dans le secteur financier et ont convenu d’intensifier cette coopération dans d’autres domaines d’intérêts communs.
L’Algérie est considérée comme un symbole de stabilité
De son côté, l’ambassadrice britannique a salué les efforts déployés par le gouvernement algérien en vue de l’amélioration du climat des affaires, tout en soulignant que « l’Algérie est considérée comme un symbole de stabilité, notamment au regard des bouleversements géopolitiques que connaît le monde aujourd’hui ».
L’ambassadrice britannique a, également, exprimé « l’intérêt de son pays d’insuffler un nouveau dynamisme à la coopération avec l’Algérie après le Brexit ».
A l’occasion de cette rencontre, l’ambassadrice britannique a présenté « l’initiative Developping Countries Trading Schemes que le Royaume-Uni entend lancer prochainement en vue d’accroître le niveau des échanges commerciaux avec les pays en développement, dont l’Algérie, à travers un accès préférentiel au marché britannique ».
Les deux parties ont convenu de poursuivre le dialogue et les échanges sur les questions d’intérêts mutuels permettant de parvenir à un partenariat gagnant-gagnant, a-t-on souligné encore de même source.