Forum d’affaires Algérie-UE : une nouvelle dynamique et des perspectives prometteuses

0
129

Après la tenue hier lundi à Alger de la 4ème réunion annuelle de haut niveau du dialogue énergétique entre l’Algérie et l’Union européenne, sous la co-présidence de M. Arkab et de Mme Simson, ce mardi a été consacré au Forum d’affaires entre les entreprises et les acteurs des deux parties.  

Ouvert ce matin par le Premier ministre, M. Aïmene Benaderrahmane, à Alger, le Forum d’affaires Algérie-UE sur l’énergie, est l’occasion pour promouvoir les investissements et les partenariats industriels entre les entreprises algériennes et européennes en matière de gaz naturel et des énergies nouvelles et renouvelables.

Energie: Les trois propositions de l’Union européenne à l’Algérie

Deuxième du genre après celui de 2016, cet évènement industriel et énergétique s’étalera sur deux jours. Il réunit plusieurs ministres, dont le ministre de l’Energie et des mines, Mohamed Arkab, la Commissaire européenne à l’énergie, Kadri Simson, le président du CNESE, en plus de parlementaires, des représentants des ambassades des pays de l’UE accrédités en Algérie, de hauts cadres de ministères, entreprises et institutions nationales ainsi que des associations industrielles et organisations patronales.

Le programme de cette rencontre comprend des panels de haut niveau sur le gaz naturel, les énergies nouvelles et renouvelables, l’efficacité énergétique ainsi que l’hydrogène.

En plus, des rencontres B2B et une exposition sont organisées en marge du forum pour permette aux participants de discuter des opportunités de partenariat et d’investissement entre l’Algérie et l’UE.

Analyse: l’Algérie dispose de beaucoup d’atouts qu’il faut concrétiser

Avant de prononcer le mot d’ouverture du forum, le Premier ministre a visité une exposition organisée en marge de l’évènement, regroupant des entreprises algériennes activant dans le secteur de l’Energie, à l’instar de Sonatrach, Sonelgaz, les agences Alnaft et l’Aprue, l’entreprise Shames Djarair spécialisée dans le photovoltaïque, et d’autres entreprises publiques et privées, où il a donné des orientations et reçu des explications sur l’état d’avancement des projets en cours.

Ce regain d’intérêt des pays de l’Union Européenne pour l’industrie énergétique algérienne confirme l’attractivité de notre pays en tant que puissance énergétique incontournable en Afrique et en méditerranée. Les partenariats envisagés par les autorités algériennes vont permettre au pays de faire un saut qualitatif et quantitatif dans le domaine et soutenir l’économie nationale.