Au moins 3000 des 45.000 bombes israéliennes lancées sur la bande de Ghaza entre le 7 octobre et la mi-janvier, selon les estimations relayées par Handicap International, n’ont pas explosé, a averti hier un responsable de cette ONG spécialisée dans l’action contre les mines. « Parmi ces 45.000 bombes, 3000 d’entre elles n’ont pas explosé, et c’est en effet celles-ci qui vont occasionner au moment des retours, au moment où l’aide humanitaire devra se déployer, un danger supplémentaire, en particulier pour les civils », a déclaré Jean Pierre Delomier.
